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Entrée <a href="https://www.mabulle.org/nationalisation-chilienne-service-national-des-migrations/ »>sur le territoire national
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Si un cas positif ou suspect de COVID-19 est détecté à n’importe quel point <a href="https://www.mabulle.org/santiago-du-chili-en-avril-les-meilleurs-bons-plans-de-ce-mois-au-chili/ »>d’entrée dans le <a href="https://www.mabulle.org/comment-eliminer-<a href="https://www.mabulle.org/la-semaine-prochaine-le-chili-souvre-au-tourisme-quels-papiers-dois-je-faire-pour-voyager/ »>les-mauvaises-odeurs-dune-maison-sans-produits-chimiques/ »>pays, les mesures de prévention et de contrôle qui sont prises pour toute infection respiratoire aiguë seront prises, conformément à la « Stratégie globale de surveillance et de contrôle du Covid » -19 et autres infections respiratoires aiguës¨publié par le ministère de la santé en avril 2022.
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Il n’est pas nécessaire de contrôler la température des passagers aux points d’entrée dans le pays ou dans les expéditions à destination du territoire national.
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Les accompagnants des passagers peuvent être interdits d’accès aux aéroports si la situation épidémiologique l’exige.
navires et croisières
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Le « Free Talk » des navires internationaux émis à distance est autorisé. Free Plática est l’autorisation donnée par les autorités portuaires à un navire d’entrer après avoir confirmé la bonne santé de l’équipage et des passagers.
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S’il est signalé qu’il y a des cas positifs de COVID-19 à bord des navires internationaux et des navires de croisière, les mesures de prévention et de contrôle qui sont prises en cas d’infection respiratoire aiguë seront prises, conformément au « Comprehensive Covid-19 Stratégie de surveillance et de contrôle ». 19 et autres infections respiratoires aiguës¨ pour les populations particulières publié par le ministère de la santé en avril 2022.
Les opérateurs de transport ont l’obligation d’appliquer la stratégie globale de surveillance et de contrôle du Covid-19 et d’autres infections respiratoires aiguës. Ils doivent établir un plan et le soumettre à la Direction de la Santé Frontalière et des Terminaux de Transport du Ministère de la Santé.
Le Département de la santé frontalière et des terminaux de transport du ministère de la Santé peut définir et préparer des protocoles spécifiques pour le contrôle des épidémies.
Le ministère de la Santé, le ministère de l’Intérieur et le ministère de la Sécurité doivent coordonner les actions nécessaires pour se conformer à cette norme.
Personnes décédées à cause du Covid-19
Pour que les restes de personnes décédées du Covid-19 entrent ou sortent du territoire national, les documents suivants doivent être soumis à la Direction de la santé frontalière et des terminaux de transport du ministère de la Santé :
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Certificat de décès délivré par l’autorité compétente.
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Certificat médical prouvant que la personne est décédée du COVID-19.
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Certificat de l’autorité sanitaire du pays de destination qui démontre que ses normes d’entrée sont respectées.
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Attestation délivrée par l’entité funéraire indiquant :
- les données de la personne décédée : nom et prénom et numéro de document,
- que les restes ont été embaumés,
- que les restes ont été placés dans un conteneur approuvé
- que l’autorité sanitaire du pays étranger autorise cette pratique pour les cas de décès dus au COVID-19.
Le certificat doit être certifié par un notaire public ou équivalent du pays d’origine.
Si les restes humains n’ont pas été embaumés, les conditions suivantes doivent être remplies :
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Certificat de décès délivré par l’autorité compétente.
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Certificat médical prouvant que la personne est décédée du COVID-19.
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Certificat de l’autorité sanitaire du pays de destination qui démontre que ses normes d’entrée sont respectées.
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Prouver que la personne est décédée au moins 18 jours avant la date de début du voyage.
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Soumettre une attestation délivrée par le salon funéraire indiquant :
- Les données du défunt (nom et prénom complets et numéro de document)
- Que les restes humains et le cercueil ont été désinfectés. Vous devez indiquer la date, l’heure et le mode de désinfection.
- Que les réglementations du pays où les restes humains arriveront ont été respectées.
- Que les restes ont été placés dans un cercueil étanche.
Le certificat doit être certifié par un notaire public ou équivalent du pays d’origine.
Pour que les restes humains entrent dans le pays, les documents étrangers doivent être présentés avec une apostille par l’autorité compétente du pays d’origine ou légalisés par le consulat argentin basé dans un pays qui n’a pas signé la Convention de La Haye de 1961.
Pour que les restes humains quittent le pays, le pays de destination doit indiquer l’exigence d’une apostille ou d’une légalisation du ministère des Affaires étrangères, du Commerce international et des Cultes.
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infractions
En cas d’infraction à cette norme, l’autorité doit faire cesser le comportement incriminé et déposer les plaintes pénales correspondantes.
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Texte intégral de la norme
Décision administrative 837/2022