Le voyage commence le 28 juillet 2007, à l’aube, à bord d’un Airbus A340 d’Air Comet (anciennement Air Plus) à destination de Santiago du Chili. Air Comet propose généralement les meilleurs prix et vous permet de transporter jusqu’à 32 kg de bagages enregistrés sans payer de supplément. Le LAN chilien et Iberia sont les deux autres compagnies qui couvrent la route.
Le <a href="https://www.mabulle.org/combien-cela-coute-t-il-de-voyager-en-italie-depuis-le-mexique-de-combien-dargent-ai-je-besoin/ »>vol a duré près de 14 heures et il a semblé interminable. En classe économique, il <a href="https://www.mabulle.org/9-destinations-pour-un-premier-voyage-avec-un-bebe-hors-deurope/ »>n’y a pas beaucoup d’espace pour s’allonger, mais nous avions des écrans de télévision individuels à chaque siège, avec 4 films au choix.
Le meilleur est venu quand il ne restait plus grand-chose du vol, et c’était quand nous approchions des Andes, un paysage fantastique de la chaîne de montagnes enneigées.
Ici on retrouverait nos snowboards dans la neige, hehe.
Plus de neige :
Finalement, après ce vol interminable, nous sommes arrivés à Santiago du Chili !!
Nous étions dans une ville qui a connu une forte croissance économique et démographique au cours des dernières décennies, mais avec des inégalités sociales considérables, comme cela se produit dans le reste de l’Amérique latine.
Une vue de la cathédrale sur la Plaza de Armas, à côté d’un immeuble de bureaux moderne :
Vue du quartier bohème de Santiago, Bellavista, où se trouvent des galeries d’art :
Fontaine aux éclairages colorés à Santiago :
Nous avons aussi visité le Palacio de la Moneda, siège du gouvernement chilien, le musée chilien d’art précolombien, toutes les rues piétonnes du centre, le soir le quartier des bars… même, comme à Rio de Janeiro, il y a une statue petite statue du Christ Rédempteur, au sommet d’une colline. Cependant, il y avait trop de brouillard.
Deux jours seulement après notre arrivée à Santiago, nous prendrions un vol pour Mendoza, en Argentine, un vol qui durerait à peine 35 minutes, le temps de traverser les Andes.
Et après être arrivé à Mendoza, encore 6 heures de bus…
….pour rejoindre la ville de Malargüe, à 70 kilomètres de la station d’hiver de Las Leñas et à une heure et demie en bus. Dans cette ville, nous sommes restés 6 jours au total. Ici une vue de la rue principale, toujours sans neige.
Mais le lendemain, à Malargüe, il a commencé à neiger….!! Et avec force !! Images du 1er août.
Vue de l’extérieur de la gare routière de Malargüe, où nous prenions quotidiennement le bus pour Las Leñas :
Wow, des photos du bus :
Et le bus a besoin de chaînes, avec le colis qui est tombé :
Et enfin nous étions aux portes de Las Leñas… :
La météo n’était pas bonne les deux premiers jours, avec beaucoup de brouillard et de froid.
Las Leñas est une station avec 7 télésièges, 6 remontées mécaniques, 27 pistes et un snowpark, entre autres. La base est à 2 200 mètres et le point culminant à 3 400 mètres.
La première chose que nous avons vue de la gare, depuis la base :
Depuis le télésiège Vénus :
Photos par mauvais temps :
Mais les jours suivants, après le manteau neigeux, le soleil a fait son apparition :
La station balnéaire de Las Leñas au premier plan :
Le moment idéal pour faire du hors-piste :
Rouler sur la piste :
Las Leñas a un snowpark……..
….qu’il fallait bien entendu tester :
Plus de photos de Las Leñas, région de Minerve :
Depuis le socle :
Par beau temps, on peut manger aux tables extérieures, et presque au pied de la piste, à gauche deux argentins avec qui nous nous sommes liés d’amitié pendant le trajet.
Bref, tout est super !
Le 7 août, après presque une semaine en Argentine, il était temps de rentrer au Chili. Sur la photo, notre avion LAN à Mendoza, qui nous a emmenés à Santiago.
Autres vues des Andes :
La prochaine destination est les stations chiliennes de Portillo et El Colorado, mais comme le temps était mauvais (paquetón dans les Andes, hehe) l’alternative était la ville de Valparaíso, au bord de la mer, et la ville voisine de Viña del Mar.
Comme nous avions loué une voiture à Santiago avec GPS, il n’y avait aucun problème pour s’y rendre.
Nous voici donc, au bord de l’Océan Pacifique, dans la ville de Valparaíso, sous une pluie incessante :
L’un des célèbres ascenseurs de Valparaíso :
Et à côté de Valparaíso se trouve la ville touristique de Viña del Mar, la Benidorm chilienne, avec ses imposantes tours d’appartements d’été :
Les plages vides par mauvais temps :
Plages de la ville de Reñaca, avec des immeubles d’appartements en forme d’escaliers :
Après cette journée pluvieuse, plus une autre journée où l’accès à Portillo était fermé, le jour pour gravir la montagne arriverait enfin. De la ville de Los Andes, où il y a des logements bon marché dans les hôtels, vers Portillo (de Los Andes c’est 80 kilomètres, de Santiago 164 kilomètres):
Une autoroute très fréquentée par les camions, en fait à 5 kilomètres de Portillo se trouve la frontière avec l’Argentine. Sur cette photo, on voit des soldats s’entraîner dans la neige, et en arrière-plan la route qui monte en zigzag :
Nous arrivions déjà. Offroaders impressionnants:
Un télésiège en face :
Et enfin monter dans un télésiège de Portillo, en arrière-plan le lac gelé et enneigé.
Impressionnant le colis qui est tombé :
Et les pistes vides, très peu de monde :
Beaucoup de neige:
Vue de Portillo, l’hôtel peint en jaune, et une file de camions faisant la queue pour traverser la frontière :
Tout cela s’est passé le vendredi 10 août. Nous sommes retournés à Santiago, et le lendemain nous sommes allés dans les gares les plus proches de Santiago, il y a trois gares à moins de 50 kilomètres de la capitale, ce sont La Parva, El Colorado et Valle Nevado. Nous allions visiter El Colorado.
Bien qu’on ne puisse pas le voir sur cette photo, les bâtiments les plus hauts de Santiago étaient parfaitement visibles depuis la station de ski :
Et il y a aussi des concours de neige, voici quelques sauts :
Après ce voyage, un jour de plus à Santiago, en visitant la maison de Pablo Neruda, et après deux semaines fantastiques, il est temps de retourner à Madrid, en arrivant ici le 14 août. Mais bon ça valait le coup.
Voici quelques photos avec des vues de Los Andes, depuis l’avion Air Comet qui nous a ramené chez nous :